Une étude révèle que les emails sont les grands responsables de la baisse du taux de natalité au Canada

lettres et taux de natalité

Baisse de la qualité du sperme, l’accès plus facile à la contraception, l’industrialisation du pays, dépeuplement des régions, oubliez tout ces études loufoques. Une récente étude révèle que les emails sont les grands responsables de la baisse du taux de natalité au Canada.

Les docteurs Yafourr et Fhukerr, chercheurs à l’Université du Québec à Joliette ont révélé après des années de recherches que les emails sont les grands responsables de la baisse du taux de natalité au Canada.

L’étude couvre une période de 1967 à 2017.

Ainsi le docteur Dhabout Yaffour explique dans on étude que la responsabilité en est une de remplacement.

« En 1967, un québécois moyen recevait à son domicile par semaine, environ 27 lettres via le facteur. En 2017, cette moyenne a baissé à 5. Comme autrefois les facteurs visitent moins les maisons. On sait tous que les facteurs des années 70 prenaient bien soin des ménagères à domicile alors que les enfants étaient à l’école et le mari au travail. Ainsi sont nés de nombreux enfants. Dans notre domaine on appelle ce facteur de natalité, le facteur facteur. Avec l’arrivée des emails, les facteurs visitent moins les dames seules, car ces dernières sont abonnés à la facturation en ligne.  » – Dhabout Yaffour, chercheur à l’Université du Québec à Joliette

La cosignataire de l’étude, Amal Fhukerr aborde dans le même sens mais avec un angle différent.

« Le Canada a maintenant un taux de natalité de 1,60 alors qu’en 1967, il était de 2,53. L’arrivée aussi de femmes dans le métier de facteur a aussi fait baisser l’efficacité du facteur facteur. Les gouvernements qui ont prôné l’égalité des sexes en sont les grands responsables. On sait tous que si une femme couche avec une autre femme, l’issu de cette relation sexuelle ne donnera jamais d’enfants. Alors vous comprenez que quand madame la facteure visite une femme seule, si cette dernière reçoit encore des factures par la poste, ça ne fait pas augmenter le taux de natalité. » – Amal Fhukerr, chercheure à l’Université du Québec à Joliette

 

Soyez le premier à commenter on "Une étude révèle que les emails sont les grands responsables de la baisse du taux de natalité au Canada"

Laisser un commentaire