Pendant qu’à Montréal le maire de la ville panique en décrétant l’état d’urgence, à l’Ouest de l’île plusieurs ont bravé les inondations et les fort vents pour surfer sur le lac des Deux-Montagnes.

Vêtue d’un bikini, Tatiana Bérubé, belle blonde athlétique, a bravé le temps froid du printemps, enfourché sa planche de surf et a filé sur les vagues du lac des Deux-Montagnes.

« Le vent est bon, il y a de bonnes vagues, la température n’est pas super, mais je ne suis pas une frileuse. Petite, je me baignais quand l’eau était à 50 degrés dans la piscine familiale chauffée » – Tatiana Bérubé, résidente de l’Ouest de l’Île de Montréal.

Devant les militaires canadiens avec en main téléphones intelligents braqués vers la blondinette, les gars de l’armée sifflaient et lui demandait même son numéro de téléphone.

« Vous avez vu ça souvent dans votre vie une jolie blondinette surfant sur le lac des Deux-Montagnes. Je suis nâtif de Saint-Eustache et je n’ai jamais vu ça » – Halla Lamontagne-Saway, militaire canadien, tout souriant.

À la ville de Montréal, le bureau du maire serait en train de rédigé une demande d’avis de recherche afin que le SPVM puisse mettre la main sur le ou les individus qui ont kidnappé le beau temps.

Pendant ce temps dans les réserves indiennes de Khanawake, Wendake, Kanesatake et Akwasasne, les danses de la pluie ont été interdites jusqu’à nouvelle ordre par le ministère des Affaires Indiennes.

« Le gouvernement fédéral nous met de la pression afin que les habitants de nos réserves cessent toute danse de la pluie. Faudrait peut-être cesser les danses à 10 dans les isoloirs un coup parti. Il devra nous compenser. » – Anatolia Mokassyntowe, chef de l’agglomération des conseils de bande de la Montérégie et du Bas-du-Fleuve.

À l’Université McGill à la chaire environnementale, tout modèle de réchauffement climatique serait en révision.

Pendant ce temps chez Météomédia, aucune journée où le mercure atteindra les 20 degrés n’est prévu d’ici le 21 mai de Montréal à Gaspé.