Québec songerait à l’embauche des techniciennes-escortes dans les banques de sperme

embauche de techniciennes

Le Ministère de la Santé du Québec a constaté que les banques de sperme sont à sec au Québec. Le niveau de dons est à son plus bas.

Le Ministère aurait commandé une étude à la firme française LaMouille & LeBranle afin de regarder la possibilité d’embaucher des techniciennes-escortes dans les banques de sperme.

Il s’agirait ni plus ni moins de techniciennes qui procéderait au prélèvement de l’échantillon au lieu que le donneur fasse le travail par lui-même.

Québec songerait à embaucher une escouade d’environ une quarantaine de ses techniciennes. Le tout dans l’unique but de favoriser les dons de sperme.

« Avant monsieur procédait lui-même à l’extraction de l’échantillon, là une technicienne s’en chargerait pour lui et ça sera fait avec la meilleure technique possible et non au goût du client. Ce ne serait pas un acte sexuel mais une extraction de l’échantillon de sperme. » – Marco De Labande, conseiller en communication au Réseau CSSS des supercliniques de l’Ouest de l’Île de Montréal

Le projet pilote, qui serait instauré à Montréal prévoit l’embauche d’une vingtaine de « technicienness » qui se chargeront d’extraire l’échantilon de sperme du donneur.

« Si le projet va de l’avant on ne conseillera pas au gouvernement d’embaucher la première venue pour un poste de technicienne. Ça prendra de l’expérience et les candidates devront prouver qu’elles sont capables de performer sous pression » – Germaine Laverge, spécialiste en recrutement 

Le Journal n’a pas pu savoir si des techniciennes semblables seront embauchées dans les cliniques de fertilité dans la province afin de recueillir l’échantillon de sperme du géniteur. Actuellement le géniteur procède lui-même à l’extraction de l’échantillon en clinique ou à domicile.

« Moi c’est clair que de me faire extraire le sperme par de belles lèvres généreuses ou une main féminine agile, je vais contribuer davantage aux banques et j’en parlerai certainement à mes amis. » – Arnaud Cauchon, donneur de sperme

Le Journal a appris que les géants américains de magazines pornos seraient en plein lobbying sur le gouvernement du Québec. Car de telles techniciennes diminueraient grandement leurs ventes de magazines dans les salles où les donneurs de spermes s’activent à extraire leurs dons.

Avec cette nouvelle mesure incitative de dons de sperme par embauche de « techniciennes » le gouvernement du Québec espère recueillir 7 hectolitres supplémentaires en don d’ici cinq ans.

«Il a été prouver scientifiquement qu’une extraction d’un échantillon de sperme effectuée par le donneur lui-même sera moins généreuse que si elle était extraite par une personne du sexe opposée et dotée d’un physique très joli. » – Docteure Natasha Lacrosse-Laboule, chercheuse à la chaire de sexologie de l’Université du Québec à Sherbrooke 

Actuellement les donneurs de sperme de la province font un don total d’environ d’un demi hectolitre par année.

L’association des prostitutées de la province s’active présentement devant les tribunaux afin d’émettre une injonction au projet car elle le voit d’un mauvais oeil et plutôt comme de la prostition légale et gratuite disponible en clinique de dons de sperme.

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