Les pushers de Montréal supplient Marc Bergevin de ne pas ramener Mike Ribeiro

Mike Ribeiro

L’Association des Pushers de Montréal, (APM), a récemment écrit à Marc Bergevin, directeur gérant des Canadiens de Montréal, pour pas qu’il décide de ramener Mike Ribeiro à Montréal suite à l’annonce de l’organisation des Predators de Nashville de le soumettre au ballotage.

« On ne veut pas revoir Ribeiro en ville, depuis que Mike est parti de Montréal, le prix de l’once de cocaine à plus que tripler. S’il revient à Montréal le prix de l’once de cocaine va s’effondrer et nos revenus vont s’effriter. J’ai une famille à faire vivre moi! », Allan Whitenose, revendeur près du métro Berri-UQAM,

Dans l’autre sens, l’Association des Portugais Montréalais, aussi APM, a écrit à la direction des Canadiens de Montréal afin que l’organisation rapatrie ce vaillant portugais.

Il n’en est rien, les Canadiens ont passé, même que les 29 équipes de la LNH ont passé, personne n’a réclamé Mike Ribeiro.

Des rumeurs émanant de Raleign, domicile des Hurricanes de la Caroline, font état que les autorités policières locales, auraient fait pression sur la direction des Hurricanes afin que ceux-ci n’amène pas Ribeiro en Caroline.

À Rouyn-Noranda, Ellen Jaccuzia, intervenante au CLSC, a mentionné que 16 ans après avoir quitté la ville, alors que Mike Ribeiro jouait pour les Huskies de l’endroit, celle-ci s’en remait déjà à peine au niveau social.

Ribeiro, 36 ans, en est déjà à sa 5e équipe dans la LNH et il semble que de se trouver une 6e sera presque mission impossible. Il en est présentement à la dernière année de son contrat, lui qui gagne 3,5 millions par année.

En le réclamant au ballotage, une équipe n’aurait eu qu’à assumer son salaire pour le reste de la saison, on parle d’environ 600 000$. Tous les directeurs gérants ont passé.

Peut-être que certains dormaient au gaz.  Du côté de Montréal l’équipe venait déjà de se débarasser d’un portugais en Mike Barbario, soumis au ballotage et réclamé par l’Avalanche du Colorado. Il aurait donc été étonnant que la direction des Canadiens de Montréal décide de ramener Ribeiro à Montréal.

À Nashville dans les rues du centre-ville, certains ont entendu la chanson du groupe Loco Locass, mais à la sauce « Libérez-nous de Ribeiro… Libérez-nous de Ribeiro! »

 

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