La nouvelle mairesse de Montréal, Valérie Plante, tout juste élue, annonce déjà sa première mesure à titre de mairesse de la métropole. Ainsi, la taxe de bienvenue à Montréal est abolie et elle instaure une taxe de départ.

Ainsi tout montréalais qui vendra sa propriété pour quitter la ville se verra imposer une taxe de 20% sur le prix de vente.

Donc, si une propriété est vendue au prix de 400 000$, la taxe de départ sera de 80 000$. À 800 000$ la taxe sera de 160 000$.

Cette mesure a pour but d’empêcher une exode des montréalais après l’élection d’une femme aux idées vertes à la tête de la métropole.

Cette mesure devrait contribuer à augmenter les mises en chantier à Montréal.

« J’estime qu’il y aura construction de 880 000 nouvelles résidences sur le territoire de Montréal d’ici 2021 soit la durée du premier mandat de madame Plante. Cette mesure devrait aidé à réduire l’exode de Montréal et à accueillir davantage de migrants musulmans. » – Gex Zagere, analyste immobilier pour la firme NoSound GoodAir & Touch

Comme seconde mesure, qui a passé quelque peu inaperçu dans le discours de la victoire de madame Plante, elle annonce qu’elle imposera une taxe de vente municipale de 2 900% sur l’huile à massage.

Cette mesure a pour but d’augmenter les coûts des salons de massage qui ont proliféré sur le territoire de la Ville de Montréal depuis 2013, soit depuis l’élection de Denis Coderre.

 

Au départ madame Plante voulait imposer une taxe de 30% sur tous les séances de massage dans la ville mais il aurait été difficile au point de vue administratif de comptabilisé avec certitude le tout.

L’AMPM, l’Association des Massothérapeutes Privés de Montréal s’oppose à cette mesure par madame Plante.

« Il faut faire une différence entre un salon à massages érotiques et des services de masssages thérapeutiques. Nous ont frottte des muscles pas des pénis » – Afrott Preypuss, massothérapeute montréalaise