Après sa défaite à l’élection municipale de l’automne dernier à Montréal, le maire défait, Denis Coderre, prendrait des cours de sourire auprès de la S.M.I.L.E., la Smile Massively Institute Louisiana Entrepreneurship, aux États-Unis.

Il attibuerait sa défaite électorale à la capacité de Valérie Plante de sourire avec grande capacité qu’importe la situation ou avec qui elle est.

« C’est très simple, Denis Coderre c’est dit, Valérie Valérie est capable de sourire et c’est ce que les gens ont aimé lors de la dernière campagne pour la mairie de Montréal. Ils ont voté massivement pour elle, car elle dégage la joie de vivre à Montréal. Il s’est alors inscrit à une formation chez S.M.I.L.E.. » – Luc Lechemin , analyste politique pour le réseau TWA

Le Journal a tenté de savoir si l’actuel maire de Montréal, Valérie Plante, avait suivit une formation auprès de la S.M.I.L.E..

La S.M.I.L.E.. donnerait des cours de jovialisme et de comment sourire en toutes circonstances. Elle aurait même des divisions pour enseigner l’art de pleurer en tout temps ou l’art de se foutre de presque tout.

Selon des sources qui veulent conserver l’anonymat, le premier ministre du Canada Justin Trudeau aurait suivi une formation de comment pleurer en toutes circonstances auprès d’une division de la S.M.I.L.E. spécialisé dans le perfectionnement pour ce type de comportement.

Nombreux politiciens suivent des cours auprès de cette institution dont selon nos sources les cours de base débuterait à 17 000 dollars américains la semaine pour une période de deux mois minimum.

Il est même possible d’avoir des cours d’immersion à partir de 25 000 dollars américains par semaine où vous serez logé et nourri, vous n’avez qu’à vous y rendre par vos propres moyens.

Il a été impossible pour le Journal de savoir à quel forfait monsieur Denis Coderre s’est engagé.

La S.M.I.L.E. est une institution extrêmement discrète sur sa clientèle.

Plusieurs collaborateurs politiques du Journal sur la colline parlementaire à Ottawa ont indiqué de sources anonymes, savoir que Denis Coderre préparait un retour en politique. Le Journal n’a pas pu savoir si c’était sur la scène fédérale, provinciale ou municipale.