Le Québec annoncera mardi sont plan de déconfinement pour de la pandémie de coronavirus (COVID-19). Le Journal a obtenu d’une source anonyme quelques grandes lignes de ce plan de déconfinement par région.

Nous savons que nombreux couples ne se sont pas vu depuis le début du confinement et le gouvernement permettra à des gens de certaines régions de pouvoir enfin se voir.

Par contre, il y aura des règles. Si les gens décident d’avoir des rapports sexuels, seule la position de la levrette sera autorisée.

Cette position évite que les partenaires qui décident d’avoir des rapports sexuels soient face à face. La levrette permet une certain distanciations sociale des couples qui la pratiquent.

Comme la sodomie est interdite dans certains états américains, au Québec, toutes les autres positions autres que la levrette seront interdites pour les couples qui se voient nouvellement durant ce déconfinement.

Des couples attrapés à faire l’amour dans une autre position que la levrette se verront remettre un constat d’infraction dont le Journal n’a pas pu apprendre le montant.

« Il vs s’en dire que si des couples se font attraper à avoir des rapports sexuels dans une autre position que la levrette, j’espère que l’amende sera salée. J’espère entre 1 000$ et 6 000$ plus les frais d’administration. Ce n’est pas juste que des couples puissent ainsi batifoler dans d’autres positions que celle autorisée par le gouvernement » – Fabien D’Amours, étudiant en sexologie

Cette mesure serait en vigueur jusqu’à la fin de l’anné et possiblement reconduite selon l’évolution du nombre de cas de coronavirus (COVID-19) dans la province.

En terminant, le Journal a aussi pris connaissance du plan qui interdirait toutes formes d’utilisation de la bouche pour des préliminaires lors de rapports sexuels pour des couples qui ne se sont pas vus depuis le début de la pandémie. Donc, le gouvernement s’invite dans le lit des québécois jusqu’au moins en fin d’année.

En attendant ce plan du Québec, un mathématicien expert en probabilités, a mentionné au Journal qu’au 1er juin prochain, le Québec compterait plus de 50 000 cas de coronavirus (COVID-19) sur son territoire et possiblement davantage selon le plan de déconfinement.

« Je fais des mathématiques depuis l’âge de 8 ans, j’en ai 63 ans. Si le déconfinement est mal fait, le nombre de cas pourrait quintupler en un mois au Québec.  Les gens ne me croient pas. Ils vont tellement tester qu’ils risquement même de tester deux fois ou trois fois positifs la même personne. C’est ça les calculs exponentielles avec facteur d’erreur » Jay Boulier, mathématicien