Aux dires de Roman Josi, P.K. Subban passe son temps à roter, à péter, il écoute constamment du hip hop alors qu’il est dans la capitale mondiale du country.

P.K. ronfle la nuit comme un 10 roues, il est toujours au téléphone avec son chum Louis Morrissette et envoie plein de selfies à la blonde du gars qu’il appelle Véro.

Pendant les pratiques P.K. s’amuse davantage à jouer des tours qu’à se pratiquer. À l’extérieur de la patinoire à Nashville il ne songe qu’à trouver des vedettes pour endisquer une chanson avec eux.

Sur la route P.K. est vraiment tannant en exigeant toujours la chambre #76 et le comble, il n’arrête pas de commander du Boston Pizza, c’est à se demander si ce n’est pas à Boston qu’il aurait dû être échangé pour y jouer avec son frère.

« Notre coach Lavy (Peter Laviolette) en a ras-le-bol et il aurait demandé au DG de l’échanger » – Roman Josi

« Shea était tannant avec son leadership et ses réunions de capitaine à jouer aux cartes et à finir ça aux topless. Il doit être heureux à Montréal, capitale des bars de danseuses complètement nues en Amérique.  Mais P.K. c’est comme si vous demandait de garder le chien de votre voisin et que ce dernier monopoliserait tout dans votre vie » – Ryan Ellis

Il semble donc que P.K. Subban serait sur le marché des transactions et que Nashville serait prête à assumer de 25% à 33% de son salaire. Le directeur général de l’équipe aurait demandé à la LNH d’annuler la transaction faute de mauvaise forme mentale de Subban, mais elle a refusé.

Déjà si tôt en saison, des rumeurs envoient P.K. à Phoenix, aux Coyotes, en retour d’un certain Alex Gogligoski.