Après que la municipalité de Weedon veulent s’autoproclamer la capitale québécoise du pot avec son mot WEED dans son nom, voilà que le maire de Waterville en accord avec le maire de Waterloo veut s’autoproclamer la capitale de l’eau du Québec, Terrebonne d’être la place nationale au Québec où la terre est bonne et de nombreux autres maires font pression sur le gouvernement Couillaird, certains ont même demandé à l’UNESCO d’être reconnu comme patrimoine mondial.

L’administration de la ville de Mascouche veut maintenant être reconnue comme la capitale des couches au Québecet espère même que le fabricant Procter & Gamble y ouvrira bientôt une usine de fabrication de couches.

« C’est une idée de marde! » – Yvan Lamothe, résident de Mascouche

À Boucherville, un conseiller avec bien du poids dans la place veut que la ville devienne la capitale québécoise de la boucherie.

« Boucherville est une ville qui est complètement boucher sur le boulevard Montarville. On ne veut pas que notre ville soit reconnue pour les bouchons de circulation mais pour la capacité à développer les meilleurs bouchers au Québec » – Patrick Legros, conseiller à l’hôtel de ville de Boucherville

Dans le Bas-St-Laurent, le village de Baie-des-Sables a déposé une demande à l’UNESCO afin que son sable soit reconnu comme patrimoine mondial.

Au Saguenay-Lac-St-Jean, la mairesse de Normandin, Sylvie Bouchard – Gagnon-Tremblay, exige que les restaurants Normandin établissent leur siège-social dans la municipalité.

« Donnons à César ce qui revient à César. Il n’y a pas de restaurant Normandin ici et ils ont pris le nom de notre village. Le gouvernement doit absolument exiger que leur siège-social s’établisse ici dans notre municipalité. » – Sylvie Bouchard – Gagnon-Tremblay, mairesse de Normandin

Un conseiller de la municipalité de Potton, aussi dans les Cantons-de-l’Est comme Weedon, exige quant à lui le même statut que Weedon étant donné que sa municipalité pourrait aussi cultiver du pot.

« On a 50 kilomètres carrés de plus grand que Weedon en superficie, nous avons donc bien plus de place qu’eux pour établir sur notre territoire de nombreuses plantation de pot. » – Phyllis Si, conseiller de Potton

Le Journal a su que le gouvernement Couillard en a plein les bottes des demandes des maires et qu’il songeait à toutes les refuser du revers de la main.